Sycomore
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 10 heures
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Coucou Miroulette,
Contente que l’extrait du N°5 te plaise. J’ai compris récemment pourquoi je ne le sentais plus après 1/2h !
Il y a accoutumance, c’est vrai. Mais aussi et surtout, je suis trop parcimonieuse avec lui. Oui, c’est un extrait mais il ne faut pas hésiter à en mettre franchement une goutte à la base du cou dans le petit creux et la laisser couler jusque dans le décolleté... Hummm, Divin ! Derrière les oreilles et encore sur la pointe des cheveux avec le bout des doigts parfumés. Et là, c’est femme fatale jusqu’au bout des ongles ! ;-)
A porter les journées chaudes, les effluves qui remontent du décolleté sont tout simplement envoutantes. De plus, s’il y a une légère brise, N°5 viendra régulièrement te séduire les narines venant de tes cheveux suaves.
Bref, si après ça, personne ne tombe à tes pieds, c’est à ne plus rien y comprendre ^_^