Diptyque capte son essence
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je crois que tu n’as par compris ce que je voulais dire Andy pour manifester une telle "véhémence" (je souligne l’utilisation des guillemets). Relis mes 2 posts, et tu comprendras mieux, j’en suis certain.
Ensuite j’ajouterais que le concept ce n’est absolument pas le nom "adresse", mais bien l’idée, à l’occasion de l’anniversaire de la marque, de capter par des méthodes innovantes l’ambiance olfactive de la boutique mythique du 34 (et là pour le coup c’est réussi et original). Alors avec un tel concept, quel nom aurait-ils pu donner franchement ?? Si vous avez une meilleure idée...
Alors après on peut critiquer l’idée même de ce concept (pourquoi se parfumer avec une odeur d’ambiance de boutique ?), le côté "best-of", ou même la qualité du parfum (on est bien d’accord, il est totalement brouillon). Mais, je le redis, attention à bien utiliser les bons arguments pour les bonnes cibles.
Après vous parlez de commercialisation snobinarde, franchement je vois pas. Ils se positionnent de plus en plus sur une communication à la Hermes, mais ça reste assez frais et simple dans l’esprit, et surtout pas de bla bla intello ou élitiste. On est d’avantage dans l’idée de voyage, de figuration, de naturel.
Après le prix, c’est une autre histoire et je ne cherchais pas à justifier ce point par le côté évènementiel, juste de trouver une explication plausible. Et franchement si de toute façon vous n’aimez pas le parfum, pourquoi s’attarder sur cette question ?
Et enfin Andy, la comparaison avec Lutens se limitait à une simple comparaison. Pas d’argument à chercher là-dedans. :)