Diptyque capte son essence
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Merci rebel, de dire clairement ce qui merite d’être dit. J’ajouterai pour ma part que 34 bd St. Germain ( au nom qui temoigne d’une incroyable paresse intellectuelle ) a certes une odeur de parfum d’ambiance, mais que je n’avais jamais senti aucune de leur bougie qui soit aussi peu délicate.
Pour finir je dirai que la hausse de leur prix en trois ans ( 85 euros le 200 ml en 2008, 80 euros le 100 ml aujourd’hui), accompagne d’un florilège de sorties de piètre qualité par rapport au temps jadis , signifie une envie trop importante de passer du coté d’une rentabilité plutôt que de la qualité. Ils n’ont pas gardé la tête froide et créative.
Et pourtant jusqu’en 2008, ils en sorti de si jolis, c’est vraiment dommage et dommageable...