Bang
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 5 heures
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Enfin, Bang est sorti dans les "grands" réseaux de distribution. J’ai donc enfin pu tester la bête. Sur le papier, et vu mes goûts, Bang a tout pour me plaire. Et franchement...je ne suis pas déçu, au contraire. Bang débute par un festival de poivre, fort, très fort. Déconcertant à une époque où les ténors de la parfumerie cherchent à tous prix à plaire dès la première seconde, à coups de banane, passion, agrumes, Malabar. J’aime beaucoup, tellement que j’aurais adoré que cette essence poivrée persiste un peu plus. Mais voilà, j’adore l’encens, et très vite me voilà enivré par celui-ci, noir, profond, brûlant, celui que l’on hume dans les églises. Une église, oui, voilà à quoi me fait penser Bang. C’est un parfum sombre, et...qui le reste. Après plusieurs heures, je le sens encore sur moi, épicé, goudronné, fumé. J’adore. La tenue cependant, à vous lire, m’inquiète. Je le sens sur moi, mais qu’en est-il des autres ? Gros point noir : le flacon. Encore plus horrible qu’en photo. Un machin métallique toc, aussi facile à tenir qu’une savonnette.