Tam Dao
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 6 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 6 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Et bien je ne sais pas trop quoi te dire. Tout dépends ce que tu recherches. Le santal est présent dans énormément de parfums, mais il est rarement la note dominante.
Personnellement il n’y a que Tam Dao qui m’ai fait craquer. C’est le seul santal aussi naturel et franc (presque soliflore) où je retrouve ce côté suave, sucré, presque liquoreux qui me rappelle le santal de la Nouvelle Calédonie ou de l’Australie.
Le Santal de Roger Vivier a l’air aussi assez simple et pur, mais je n’ai jamais réussi à le trouver. Et celui de Fragonnard qui a l’air plus frais, avec des agrumes.
Après il y des santals plus "indiens", plus secs, et où ce côté sucré est totalement camouflé par des notes épicées et salée (Santal de Mysore de Lutens, ou le Santal Blanc que j’aime beaucoup moins).
Et puis après il y les santals mystiques ou grandiloquants, où ils tiennent le devant de la scène mais sont un peu trop habillés à mon goût (Santal Noble de Maitre Parfumeur et Gantier, très austère, ou encore Bois des Iles de Chanel, plus fleuri, fruité, féminin).
Et puis après il y a les santals synthétiques qui me font vomir : le Santal Intense d’Ulric de Varens, ou Roi Santal de Comptoir Sud Pacifique.