Un Jardin sur le toit
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 3 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Le problème pour moi n’est pas l’utilisation de matériaux de synthèse (la figue du Jardin en méditerranée ou le gingembre d’Après la Mousson n’étaient pas particulièrement naturalistes), mais bien cette impression finale trop chimique/bonbon "goût fruit", cette "fraise d’aromaticien" dont vous parlez qui noie tout dans un bouillie fuitée non identifiable.
Les précédents jardins parvenaient tout de même à créer une sensation de naturel (tout comme les colognes) et nous faisaient voyager. Là pour moi le voyage n’arrive même pas jusque sur le toit du 24 Faubourg, mais s’arrête dans un laboratoire blanc et stérile de chimiste.