Un Jardin après la Mousson
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Ce débat est purement intellectuel et passionnel. Mais il serait étonnant qu’ un tel lancement ne réponde qu’a des critères purement artistiques. Il est sans doute travaillé à partir d’études précises des goûts asiatiques dans une logique de conquête de marchés. Les notes acqueuses et rances ainsi que le jasmin "sampaquita" font partie de la culture olfactive de l’Asie (et accessoirement, ce jasmin fait partie des dernières matières premières "technologiques" développées par Givaudan, avec qui travaille Jean Claude Elenna). Alors, que ce Jardin interroge les européens et fasse débat, je crois que la maison Hermes et Jean Claude Ellena s’en moquent ! Qu’ils vendent là bas est sans doute plus important. Quant au nom, n’est il pas simplement "Jardin" pour rester dans une ligne de produits et en français parce que c’est perçu comme luxueux ??? Mais je suis peut être trop pragmatique !