Les parfums de la honte
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
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Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Tout va pour le mieux Xxerus ;0)
Je suis toujours vehément et les mots ne traduisent pas réellement mon sentiment qui est bien moins péremptoire qu’il n’y paraît.
Ce n’est pas pécher que de donner un sentiment, ce qui est à mon sens plus problématique c’est le tir aux pigeons auquel certains s’adonnent sans même se souvenir que le goût est difficilement discutable et que nous sommes tous passés par une phase oh combien balbutiante et parfois malodorante de notre apprentissage du parfum et de la bonne senteur en général...
Qu’est-ce qu’une bonne senteur d’ailleurs...vaste débat. Celle qui plaît à l’intéressé serais-je tenté de dire, d’où mon post un poil chaud, je l’avoue en le relisant après coup. Faute avouée..
Je suis cela dit à 100% d’accord avec vous sur les abus mais qui doivent être expliqués aussi clairement que vous le faites. N’oublions pas aussi que le sujet, le fil de la discussion est "les parfums de la honte" et pas "les marques nous prennent pour des pigeons"
Donc non, je ne donnerai pas une liste subjective au possible de jus "de la honte" car je ne ressens aucune honte à dire qu’après Drakkar j’ai porté Hugo et puis l’eau d’Issey et puis Fahrenheit, et puis l’Eau d’orange verte etc etc