L’Eau Serge Lutens
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 3 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 4 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 6 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Étant donné que j’avais plusieurs échantillons et je n’osais pas les utiliser (sur mon poignet ça sentais le chlore melonné), j’ai passé les quatre derniers jours anti-parfumé.
Maintenant c’est tout compris. J’y vois un peu l’idée de Blanche de Byredo, c’est vrai. Mais Blanche sent l’adoucissant et L’Eau sent l’après-shampooing biphase liquide-bleu-mousse-blanche Revlon. C’est tout à fait drôle, ironique, etcetera... mais ce n’est pas beau. Pour coronner le tout, il faut le vaporiser si abondamment pour avoir un certain sillage, que son pris haut de gamme devient le comble de l’absurdité.
Vive Iris Ukiyoé alors, absurdement cher aussi mais beaucoup plus élégant.