Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 4/4
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 12 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 12 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 12 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Merci de votre message, chère Lolo. Ma Griffe est une splendeur, et l’idée de le retrouver peut-être bientôt me met en joie ! Je portais ce parfum en 1987-88 en étant persuadé que c’était un masculin ! Soit mon jeune nez manquait d’exercice (ce qui est d’ailleurs certain), soit j’anticipais la vague des floraux masculins de quelques vingt ans... En revanche, je n’ai jamais trouvé que ce parfum correspondît à l’imagerie assez torride que véhiculait sa publicité. Dans mon imagination, le mot griffe était plutôt associé au vocabulaire vestimentaire, à l’élégance, qu’à des ongles enfoncés dans la peau, dans l’exaltation d’une étreinte. En tout état de cause, si je mets la main dessus, je vous assure que je ne me dégonflerai pas, je l’adopterai de nouveau pour moi-même.
Un petit mot à la rédactrice de ce site, puisque je viens de vous rejoindre : félicitations très vives pour ce site d’une superbe qualité, et d’une incroyable richesse. Je sens que je vais apprendre beaucoup de choses à votre contact. Merci !