Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 4/4
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 6 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 6 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Merci de votre message, chère Lolo. Ma Griffe est une splendeur, et l’idée de le retrouver peut-être bientôt me met en joie ! Je portais ce parfum en 1987-88 en étant persuadé que c’était un masculin ! Soit mon jeune nez manquait d’exercice (ce qui est d’ailleurs certain), soit j’anticipais la vague des floraux masculins de quelques vingt ans... En revanche, je n’ai jamais trouvé que ce parfum correspondît à l’imagerie assez torride que véhiculait sa publicité. Dans mon imagination, le mot griffe était plutôt associé au vocabulaire vestimentaire, à l’élégance, qu’à des ongles enfoncés dans la peau, dans l’exaltation d’une étreinte. En tout état de cause, si je mets la main dessus, je vous assure que je ne me dégonflerai pas, je l’adopterai de nouveau pour moi-même.
Un petit mot à la rédactrice de ce site, puisque je viens de vous rejoindre : félicitations très vives pour ce site d’une superbe qualité, et d’une incroyable richesse. Je sens que je vais apprendre beaucoup de choses à votre contact. Merci !