Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 4/4
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 2 jours
Bonjour Blanche, Ne regrettez rien car je n’étais nullement froissée, et je me demande ce qui a(…)
il y a 2 jours
Oh pour que Guerlain revienne en arrière il faudrait que quelqu’un d’autre qu’LVMH soit aux(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Merci de votre message, chère Lolo. Ma Griffe est une splendeur, et l’idée de le retrouver peut-être bientôt me met en joie ! Je portais ce parfum en 1987-88 en étant persuadé que c’était un masculin ! Soit mon jeune nez manquait d’exercice (ce qui est d’ailleurs certain), soit j’anticipais la vague des floraux masculins de quelques vingt ans... En revanche, je n’ai jamais trouvé que ce parfum correspondît à l’imagerie assez torride que véhiculait sa publicité. Dans mon imagination, le mot griffe était plutôt associé au vocabulaire vestimentaire, à l’élégance, qu’à des ongles enfoncés dans la peau, dans l’exaltation d’une étreinte. En tout état de cause, si je mets la main dessus, je vous assure que je ne me dégonflerai pas, je l’adopterai de nouveau pour moi-même.
Un petit mot à la rédactrice de ce site, puisque je viens de vous rejoindre : félicitations très vives pour ce site d’une superbe qualité, et d’une incroyable richesse. Je sens que je vais apprendre beaucoup de choses à votre contact. Merci !