Où va la parfumerie (1/4)
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 2 jours
Bien belle critique d’Olivier R. P. David et vibrant hommage rendu au " Prete Rosso". À sa(…)
il y a 4 jours
Pardon, il s’agit d’un flacon de 50 ml et non de 75 ml.
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Dau, personne ne vous a répondu à propos de Mandragore pourpre ! Il se trouve que moi aussi je l’aime bien, sans jamais avoir franchi le pas de l’achat. Mais deux échantillons m’ont permis de l’apprécier, et grandement. Je ne le sens pas particulièrement comme un chypre, plutôt comme un hespéridé aromatique renforcé en fond sans doute par une pointe chyprée, mais pour moi c’est vraiment extrêmement discret. Cette fragrance est extrêmement ciselée, et se situe, en bonne néo-quelque chose, entre une dimension très classqique et quelque chose d’assez nouveau et fascinant. Elle est frâiche, mais la présence de romarin ou je ne sais quelle dimension "herbeuse" la rend profonde, riche. Elle ne tient pas divinement, du moins sur moi je ne la sens pas longtemps, mais sur les vêtements elle dure, alors je n’ai peut-être qu’une accoutumance à cette jolie odeur.. Et vous Dau, ou plutôt toi, pardon, l’as tu senti, aimé, porté, apprécié ?