Kiss Me Tender
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Celui n’a pas été disons un coup de coeur immédiat. Je l’ai bien aimé dès le premier pschitt, mais je le trouve trop... hétérogène ? Il se fondait pas.
Mais aujourd’hui, ce petit bijou s’est complétemenr révélé.
Alors pour moi, le début n’est ni blanc, ni rose, mais jaune. Un jaune teinté d’or, avec un autre côté plus brin. Au début, c’est l’odeur de l’amande. L’amande juste grillée comme il faut, et sans l’horrible dose de glucose qui l’accompagne bien trop souvent. Avec en même temps une odeur de... de lila, oui ^^. C’est assez anglais je trouve comme début d’ambiance. Une gourmandise raffinée, le long d’une digue un peu venteuse. Un Pim’s ! Voila, c’est le mot que je cherchais, mais avec de l’amande à la place du chocolat.
Puis, tout le parfum va s’arrondir, de manière poudrée, mais pas poudrée type L’heure Bleue, mais plutôt de manière proche à Ombre Rose et Teint de Neige (clochette ;) ). Avec en plus une vanille très gourmande, mais là encore sans note chamallow. Alors je sais pas pourquoi, j’au aussi une illumination : ça sent l’ylang ylang ! Plutôt, y’a une odeur assez proche de Palmolive à l’ylang ylang. Et là non pas saupoudré d’amande, mais plus de musc.
Hum... c’est vraiment délicieux. L’image qui demeure en fond, c’est qu’on s’est assis sur un banc en fer forgé (il y a je trouve un arrière gout métallique un peu...), avec notre pin’s à l’amande, et cela sous un lila.
Une très belle réussite, qui mériterait d’être mise sur le devant de la scène !
Vive l’odorat !