Love, Chloé
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Phoebus, vous avez bien trouvé : parfum de baby sitter... d’ailleurs je ne disais pas qu’elle avait 40 ans ! « pas franchement jeune, mais pas trop vieille non plus » je ne me mouille pas beaucoup, mais elle peut être jeune !
Julita, c’est le côté double tranchant de ce parfum, on peut facilement le trouver juste "banal", et là, c’est fini !
Doudou, c’est en effet un des moins décevants de la rentrée, mais j’aurais espéré un peu plus ce côté "talc pour bébé", comme dans le Miss Me, justement, ou dans Ombre Rose, là, j’ai plus le côté propre-aldéhydé qui domine, dommage...
Guettappens, c’est tout à fait ça, il est sage, romantique, rassurant, mais pas fait pour celles qui veulent du piment !
Maowell , désolée de ne pas avoir été claire, oui, il sent comme une salle bain qui sentirait bon ! ;) avec les petits inconvénients que cela peut avoir, comme dit ci-dessus...
Poupinette, le point commun avec le dernier Chloé, ce serait sans doute la rose, le côté vert, et aussi le fond très propre, musqué. Et un côté "féminin intemporel" qui évite le cliché "trop à la mode", mais pas vieillot pour autant.