Daisy
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 4 heures
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
il y a 23 heures
Je vous conseille également L’Instant pour homme, un patchouli élégant, gourmand qui est assez(…)
il y a 23 heures
Bonjour Gost7 sam, et merci beaucoup pour le conseil, je ne connais pas les parfums de la(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Moi, je l’aime bien… parce qu’il m’a rappelé les shampooings de mon enfance et que c’est l’odeur que devaient avoir les cheveux de la jolie fille du collège, celle à longue chevelure lisse de sirène. Très teen movie US, tout ça. Le genre de fille qui est populaire, n’a jamais d’acné et sort avec le capitaine de l’équipe de foot, blond et lisse aussi, avant d’être élue Prom Queen. Un cliché façon campagne de pub Ralph Lauren. Dans mon collège, la fille, c’était Valérie S et lui Philippe. Des clichés ambulants mais pas désagréables à regarder. Dix ans après, lui, je l’ai revu : chauve et bedonnant. Pareil pour Daisy : un truc plaisant, et pas destiné à rester.
(Et si vous voulez tout savoir, pas un parfum pour moi : mes cheveux sont lisses 5 minutes par jours quand je sors de la salle de bain, sinon c’est bouclés, bouclés, bouclés !)