Sahara Noir

par Opium, le 8 décembre 2013
Bonsoir Demian.
Belle évocation, vous aussi, que celle de cette chapelle qui servait de parenthèse au monde extérieur, tant par son univers, son décor, sa fraîcheur que par son obscurité.
Sahara Noir est une autre forme d’invitation, vers des contrées plus lointaines.
A l’image de Wazamba, Serge Noire ou même Alamut, Parfum de Peau son prédécesseur, Encens Flamboyant, l’Absolue pour le Soir, Sahara Noir invite lui-aussi au transport dans des contrées qui ne sont pas celles (ou pas que celles...) des églises comme le font Avignon, Cardinal ou Messe de Minuit. Avec les premiers, la température n’est pas celle, froide, des bancs en bois et des pierres des sanctuaires religieux. C’est celle, peut-être encore mystique malgré tout, des endroits chauds : déserts et lieux où la brûlure de l’encens crépitant et brûlé peut s’imprimer.
C’est bien dans un conte des Mille et une Nuits que l’on est transporté, avec Aladin et Shéhérazade.
La puissance de Sahara Noir a l’avantage, pour revenir à des préoccupations plus pragmatiques, de permettre de l’utiliser avec modération. Ainsi, le prix très élevé pour ce flacon est un peu amorti et moins douloureux.
Quant au flacon et toute sa dorure, il est probable que le bling-bling ostentatoire ait été utilisé, comme dit précédemment, afin de satisfaire aux goûts pour ce qui est doré et voyant propre à la clientèle moyen-orientale.
Quoiqu’il en soit, profitez pleinement de votre nouvel achat et de son enivrement. Qu’il vous apporte toute la chaleur, le soleil et les rêveries nécessaires en ces températures hivernales.
Bonne soirée.
Opium
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