Volutes
par Opium, le 7 mars 2013
Bonsoir.
Lorsque Volutes est sorti en juin dernier, il me semble, je me suis dit, également, qu’après des sorties "moyennes" et peu originales ou signées pour la marque Diptyque, enfin, elle revenait à quelque chose à la fois de bon et de cohérent dans sa gamme. Puis, à l’usage, Volutes m’a moins plu. A ce jour, je me le réapproprie à nouveau.
A propos du plaisir ressenti, les avis divergent, comme ils divergent à propos des concentrations.
Vous préférez l’EdP alors que l’EdT vous a semblé moins intéressante. Cela, comme à chaque fois, peut dépendre des différences de PH des peaux et des ressentis propres à chacun, j’en connais qui préfèrent cette version. Par ailleurs, quel est votre ressenti précis à propos de l’EdT ? Cela m’intéresse. Peut-être que trois tests attentifs pour comparer les deux concentrations ne m’ont pas été suffisants pour en percevoir toutes les subtilités...
Plutôt que Shalimar Parfum Initial, c’est aux Infusions et à Dior Homme, même en tête, que Volutes m’a fait penser. Mais, tous ces parfums étant des "iris gourmands" (des vrais !), il doit y avoir quelque chose, j’y ferai attention la prochaine fois que je passe entre un stand Guerlain et Diptyque, au Printemps par exemple.
Au final, même si je trouve que Volutes est moins original qu’il n’avait l’air de prime abord, et moins maîtrisé que ses prédécesseurs dans la catégorie d’un iris gourmand ou tabacé, je le trouve pas si mal dans ses deux concentrations. Ahh, Infusion d’Homme, Dior Homme et, dans un autre registre (sans iris), Fumerie Turque (#doudou)... Eux, selon moi, chacun dans son genre, sont encore mieux ! ;-)
Dommage que l’EdT soit si miellée en tête car elle est fort jolie à la fin. Et, c’est exactement l’inverse pour l’EdP, qui parvient à irradier un iris surnageant dans toutes les notes baumées et résineuses tabacées ; mais, dont la durée de vie est plus (trop) brève !
Bref. Deux concentrations et pas une qui réunisse tous les avantages. (Oui, je fais mon ch*eur, mais, on parle exclusivement de notes que j’apprécie beaucoup là, ce qui ne me rend pas plus indulgent, mais, bien plus exigeant...)
Malgré tout, on ne peut que se féliciter d’une sortie aussi jolie et cohérente.
A bientôt.
Opium
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