Odeurs freaks

par Farnesiano, le 6 février 2014
Hello, Sun Jae, c’est Farnesiano. On s’est rencontrés un jeudi soir chez " Linda Goutal " il y a peu de temps. Plaisir de te retrouver ici. Et en plus, tu me fais découvrir un chapitre d’AP que je ne connaissais pas. Oui, nos nez exercés nous font fuir certaines odeurs personnelles, surtout dans les transports en commun où la proximité rivalise avec le temps obligé du trajet. Souvent pénible ! Mais il m’arrive de succomber, l’été, à certaines odeurs de transpiration, masculine ou féminine, que peuvent dégager des peaux propres, c’est à dire quand la chaleur et l’humidité sont telles que même préalablement déodorisés, les gens sentent, et parfois très fort. Il y a une telle variété d’odeurs ces jours-là que mes sens demeurent constamment éveillés, et au final émerveillés par cette richesse surabondante de senteurs. J’ai achété Al Oudh de L’Artisan pour la simple raison qu’il sent cette transpiration épicée, certains diront aigre, mais non : ÇA SENT BON !
Autres odeurs freaks : l’essence (c’est divin), le mazout, le goudron chaud, le plâtre, les garages d’immeubles, les garages automobiles (pneus, huiles, essences, fer, tous les métaux d’ailleurs). Et en plus, même l’odeur de l’oeuf dur pourri. Le soufre, quoi. Par-dessus tout, celle de mes poils de bras brûlés quand celui-ci a frôlé la flamme du bec de gaz... Je garde un souvenir inoubliable de l’odeur du crottin que les chevaux des gendarmes laissaient derrière leur passage sur les boulevards de mon enfance... Bref, la liste s’allongerait à l’infini ! Désolé si je t’ai choqué :-) A plus.
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
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