Auparfum

Iris Silver Mist

PoisonFlower

par PoisonFlower, le 13 janvier 2013

C’est vrai que l’iris de la bougie de Diptyque est assez doux. Pas de rose grasse pour moi : j’ai une jolie violette qui ressort, discrète et peu sucrée, qui me rappelle d’ailleurs un peu celle que l’on rencontre dans Féminité du bois !

 

Effectivement, vous (tu ?) en aviez parlé dans la brève consacrée à la sortie de 34 boulevard Saint Germain (merci Google !), mais j’étais passé à côté, mea culpa ! ^^

 

En ce qui concerne sa disponibilité, je viens de découvrir un article sur Grain de musc de début août 2008 qui annonçait la suppresion de 22 bougies, dont Iris. Ils n’ont semble-t-il pas totalement mis ce plan à exécution, vu que plusieurs références qui devait disparaître apparaissent encore aujourd’hui sur le site de la marque.

 

C’est marrant quand même cette fascination qu’exerce l’iris sur la plupart des perfumistas en herbe !

 

Je suis tombé sous le charme de cette note lorsque j’ai découvert le 19, il y a de cela une quinzaine d’années. Mais c’est en le sentant à l’état brut, c’est-à-dire sous forme de rhizomes, à l’occasion d’un atelier Les contes parfumés chez Guerlain en 2010, que j’en suis définitivement tombé amoureux ! Pour moi, il y a vraiment un avant et un après la découverte de l’iris à l’état pur.

 

Ce qui me séduit, c’est que l’iris sent bien évidemment bon, mais sans tomber dans la facilité, la séduction ou la douceur pour la douceur, cela grâce à ce côté strict, raide, rêche qui fait tout l’intérêt de la note. Comme je le disais, elle me rappelle toujours l’odeur du neuf, qu’il s’agisse d’un tissu épais comme le velours ou de l’intérieur d’une voiture.

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