Stéphane Humbert Lucas : « Je ne suis pas né à Grasse dans une rose »

par Opium, le 11 juillet 2012
Bonsoir Beurk, Jle, Derby13 et Jicky.
Je suis content que le petit souci lexical quant au choix d’un terme inadéquat ait rapidement été résolu.
Je ne peux que vous inviter à vous plonger à nouveau dans les échanges quant au sexe des parfums dans le lien qui est ici, questionnement aussi intense que celui qui concerne les anges au même propos. (Cette discussion est, de mon humble point de vue, l’une des plus passionnante qu’il y ait eu sur AuParfum...)
Jicky : "So little money" et "so little bras", je suis bien d’accord. Avec mes deux membres supérieurs, je n’ai jamais pu dépasser les 13 tests appliqués sur peau ("Allô, allergies, bonjour !"), auxquels j’ai ajouté un parfum bien à moi le soir pour me retrouver en terrain connu ; soit, 14 parfums en tout...
Donc, quand on vous raconte "qu’après deux ou trois parfums, vous saturez", demandez-vous ce que vous allez faire à l’Osmothèque un samedi matin où en moins de 3 heures, de 30 à 40 touches à sentir vont être distribuées... Et que du "beau monde" à sentir en général, mais, au pas de charge ! Il faut juste un peu d’entraînement, de la concentration... et, assez de surface pour pouvoir tester !
Je dirai pour ma part : "So little money, so little "bras", too many perfumes..." !
Une rumeur raconte que certains membres de ce site auraient même testé des parfums sur des parties assez incongrues de leur corps (mais, rien de sexuel, on n’est pas sur un site de rencontres ici...) : arrière des genoux, mollets...
#jeveuxêtreunepieuvre
Comme le dit Derby13 : "Vive le parfum !"
Comme le signe souvent Jicky : "Vive l’odorat !"
Pour en revenir au sujet, belles découvertes ou redécouvertes des parfums Nez à Nez. Ils ont probablement pleins de défauts, une impression de "chaudron" dans lequel on aurait joué à l’apprenti - alchimiste. Mais, cela, justement, doit leur conférer un certain pouvoir d’attachement. Pour ma part, c’est Marron Chic et Immortelle Marilyn qui ont su me séduire. Et, quand on trouve un parfum qui nous comble, il faut en profiter ; d’autres partent à la recherche de "leur" parfum sans jamais le trouver...
A bientôt.
Opium [qui portait Gentleman de Givenchy aujourd’hui (pour jouer au papa rétro), Amande Persane ce matin (pour la douceur dont ont parfois besoin les adultes devenus grands) et s’endort parfois avec une série de parfums sur une semaine à en faire une grille de Loto : N°5, N°19, N°22 (donc, tout à la fois, une femme hautaine mais sensuelle, méprisante et froide ou facétieuse bien qu’un peu distante parfois... ^^). #fragschizophrenia ]
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