Auparfum

Immortelle Marilyn

Opium

par Opium, le 20 octobre 2011

Bonjour à toutes et à tous...

 

Je profite de quelques minutes pour vous répondre bien trop tardivement, mais, mieux vaut tard que jamais (comme le dit le proverbe bien déculpabilisant)... La période des vacances est indéniablement celle où l’on décroche un peu trop du quotidien. Je tente petit à petit de rattraper un peu le retard accumulé ici en quelques semaines.

 

Vivi (honneur aux dames)...
Nous avions discuté, il y a des semaines, de ce à quoi pouvait bien renvoyer le choix de mon terme "plastifié" pour décrire l’une des étapes d’évolution de cette Immortelle Marilyn. Je t’avais expliqué que c’était cette espèce de surface enveloppante cosmétique et gourmande, telle un film enveloppant, à la fois sucré et mobile, tout en étant glossy - cosmétique en même temps que poudré - cosmétique.
Un effet trousse à maquillage, mais plus lipstick que fard à joues en somme.
Tu cites quelque chose qui m’interpelle car, après coup, cela éveille de très très vieux souvenirs (de l’époque où ma petite soeur était un bébé) : l’odeur des poupées Corolle ! Il va me falloir aller faire un tour dans les boutiques de jouets près des Grands Magasins parisiens !

 

Vivi, Xxerus, Jean-David et Dreamparfum, je vous remercie pour vos compliments, toujours un régal à lire et savourer.
Au vu du nombre de sorties qui ont lieu, on a parfois du mal à suivre, même sur les blogs et entre passionné(e)s, toutes les nouveautés qui arrivent sur le marché. Aucune autre critique pour le moment n’avait été réalisée sur ce parfum. Je me sentais un peu seul et me demandais si l’accueil, si chaleureux de son créateur, n’avait pas sensiblement influencé mon nez de manière trop positive.
Je vous invite à lire la critique consacrée à Immortelle Marilyn rédigée par Sophie sur son site My Blue Hour. Elle y apporte un regard qui complète mes impressions et souvenirs d’il y a quelques semaines (mois ?). Son analyse très fine et sensible met bien en relief ce parfum tout en ambivalence entre le début de l’histoire qu’il nous raconte, et sa fin (de la "fulgurance" à la "quintessence" en passant par la "métamorphose" comme aurait préféré son créateur).

 

Je vous souhaite une très agréable journée,
Opium

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