Scenario catastrophe : la suite

Re... comme disent les jeunes !
J’ai lu depuis hier vos réactions, et, pour être honnête, j’ai été abasourdi et stupéfait ! Suis super content d’avoir une certaine utilité avec l’analyse que j’ai proposée. Ce n’est pas de la fausse modestie, mais en cliquant sur "envoi du message", jeudi au petit matin, je n’étais plus trop sûr de moi, et craignais vraiment d’être très rébarbatif ou pire, initéressant.
Vos réactions me font un plaisir immense, je ne savais, de ce fait, pas comment réagir hier soir...

Je vous remercie donc toutes et tous, pour vos "bravo" et vos compliments... Mais comme cela serait trop impersonnel...
 Dau : Un grand merci pour la proposition de "membre d’honneur 2011 de auparfum.bynez.com" ! Et suis ravi de "l’épate" grâce aux statistiques, car cela n’était pas gagné !
 Vivi Snow : Nous manquons tous les deux souvent de superlatifs l’un pour l’autre... Tu dois être un peu vannée également, et a dû arriver en retard hier à lire (ce roman fleuve de bon matin) ! Je te confirme que j’étais bien vanné hier, un peu au radar (mais pour la bonne cause cela valait la fatigue) ! Je reviens sur les points que tu as abordés ensuite.
 Amalia : Vous me dîtes ne pas savoir quel compliment faire... Je vous retourne donc le "compliment" (car ne pas trouver les mots en est un). En effet, suis bien tout seul pour l’analyse qui a été fournie. Comme vous êtiez seule lors de votre quasi expérimentation scientifique sur le thème de la jacinthe. Dans le genre "jusqu’au-boutiste" de la recherche, je crois que nous nous valons ; la lecture de vos tests, outre que la description en était drôle, se sont surtout révélés utiles (car parfaitement décrits). Nous voilà dans la confrérie des geeks des parfums... Qu’une personne décrivant aussi bien ses ressentis et émotions souhaite me relire... J’en reste coi.
 Miroulette : Merci pour les précisions sur les différences culturelles dans les préférences des publics (qui dans le cas de Iunx font choisir un autre parfum aux moyen-orientaux que celui choisit lors de la cata) !

Ainsi, je suis ravi de vos réactions, alors, une dernière fois, je vous retourne, Hangten, Jean-David (et je souhaite que mon Opium rende accroc ;-) ), Dau, Vivi Snow, Amalia, Miroulette, Jicky (pas trop mal lors de ta chute ? ton expressivité me plaît bien ! ), Lolo (idem que pour Jicky, la petite touche avec une tite grossièreté m’a bien fait comprendre le message et bien fait plaisir... ;-) ), Nez-Like, Jeanne, je vous retourne donc mes remerciements émus à mon tour (pour faire simple, vous m’avez fait bien plaisir ces deux derniers jours) !

Retour aux réalités catastrophistes :
Je partage les points de vue qui ont été étayés pour compléter l’analyse que j’ai réalisée :
- Comme Vivi, pour qui il semble bien apparaître des choix par parfumeur(s), par famille(s) olfactive(s) et par matière(s) de(s) composition(s) (ah, l’iris, la tubéreuse, la vanille, l’encens, la fleur d’oranger...) !
Vivi, comment fait-on ? J’accepte avec plaisir un peu de l’aide que tu me proposes quant à la description des impressions et émotions qui se dégagent des choix effectués par nous tou(te)s. On échange un mail...
- J’abonde aussi dans le sens de Miroulette, qui s’engageait hier dans le choix de penser que les gammes larges les plus qualitatives sont celle qui tirent leur épingle du jeu (en prenant très bien le contre-exemple d’ELO qui devrait, du fait de sa gamme large, être très cité(e), mais ne l’est pas...).
- Nez-Like nous parlait de la notion de mythe(s) que l’on pourrait appliquer aux parfums de niche, bien que ces mythes soient souvent récents et moins connus... Je suis bien d’accord. C’est un peu comme s’il y avait des "mythes mythiques" dont l’histoire est partagée par le plus grand nombre et des "mythes perfum(ysth)iques" liés aux histoires personnelles des perfumistats mais également aux connaissances partagées entre-eux (combien d’Iris Silver... et de Dans Tes Bras leur doit-on ? )...
Dans un cas comme dans l’autre, c’est bien l’émotion qui importe et crée le désir, le choix.

Jeanne, j’attends quelques retours, réfléchit un peu à tout cela et me lance dans le début de la rédaction et tente de finaliser tout cela pour la semaine prochaine.
N’hésitez pas, Jeanne et vous toutes et tous, à rebondir, ajouter des éléments, que je pourrais intégrer à la "petite" rédaction que je vais tenter (et vous plaira à nouveau, j’espère... Waouh, la barre est plus haute maintenant) !

Très olfactivement,
Opium-Thomas (un peu moins fatigué qu’il y a deux jours, mais plus ému)