Les parfums de la honte

par DOMfromBE, le 9 avril 2012
Angel EST une étape dans l’histoire de la parfumerie : cliveur, il ne peut laisser indifférent, mais et surtout avant-gardiste et précurseur d’une école hélas trop abondante et surtout inégale en qualité.
Il a débuté son histoire comme un parfum de niche, porté par les rédactrices des magasines et par une clientèle de fidèles.
Certes victime de son grand succès, d’une image blondasses vulgaires et gamines trop arrosées de ses pralines sirupeuses, il est aussi pour beaucoup une bulle de confort.
Et en vingt ans, il n’a pas faibli : une gamme de bain fabuleuse, fidèle et une composition où je ne décèle pas de reformulation sauvage, à l’inverse de ce qui se passe chez LVMH.
Bref, c’est un monument ! Et pour ceux qui ont de la mémoire et les colonnes de Buren et la pyramide de Pei avaient scandalisé.
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