Chanel fait rugir les Exclusifs avec Le Lion
par Garance, le 7 juillet 2020
J’adore cette énumération, elle me rappelle bien des souvenirs, liés à des personnes, des situations : une vraie photographie olfactive des années 80-90 : ma mère a porté Magie Noire puis Poison, une amie portait Champagne, un ami Fahrenheit (il l’avait piqué à son grand-père !)Plus tard, une collègue lors de la première année où j’ai travaillé Giorgio . Et je me souviens d’une soirée au théâtre, une dame répandait des effluves incroyables de Coco. Elle avait dû se baigner dedans, mais j’adorais, même si je me souviens avoir été vraiment déconcentrée, mon cerveau plus pris par le parfum que par le spectacle.
J’ai toutefois vu une évolution dans le parfum porté par les adolescentes : j’ai l’impression que les deux dernières décennies d’effluves de malabar sont bien derrière nous ; je suis prof, et ces demoiselles je trouve sentent moins le sucre ces derniers temps, ou alors c’est une sorte d’effet d’accoutumance de ma part...
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