Pourquoi se parfume-t-on ?

Mitsouko, en tant que fils spirituel (ça va me faire beaucoup de mamans olfactives maintenant ^^), tu peux me tutoyer :p (au contraire, ça me dérange pas du tout).

6 livres par an. J’avoue avoir été "choqué". C’est plus ce que je lis en 2 mois ^^ (je ne suis pas à 70 non plus, quoique la moyenne l’été remonte à 2 par semaine, voir plus). Mais voila, c’est encore un bon exemple, encore plus proche du parfum, parce qu’entre un prof de français et un ado de base, les gouts sont différents ("Wesh t’a ’u, Maupassant, là, je comprend même ap c’qu’il dit là !" phrase véridique, entendue à la sortie du brevet —’).

Mais en parfum, c’est même pas par pur snobisme que je n’aime ni Bleu, ni Hugo ou encore des trucs genre Cocpit d’Azzaro, c’est vraiment parce que je ne peux pas les sentir !!! C’est un peu comme Chloé, même si je trouve ce dernier bien fait... J’avoue, je ne peux pas m’empecher de faire une grimace quand je sens une fille avec Miss dior Chérie. Et pourtant, voila, c’est pas faute de le sentir.

Purée, votre lycée comme ça, mais ça doit être jouissif !!! Oh la la ... en plus je viens d’avoir une image ... bon stop.

Mais en fait, sentir n’est pas rédhibitoir. Il y a des parfums tout bêtes, mais que j’apprécie vraiment sentir dans la rue ! Tiens Mesqualine, puisque que tu viens de répondre, là je pousserais le vice à dire : "Mais pourquoi One Million, et pourquoi pas Roadster de Cartier ?". Même ordre de prix, mais classe, originalité, et raffinement en plus !

Et pourtant, c’est un parfum menthe fougère assez simple, mais fait avec du coeur, et pas des billets de 50€ !!

Je sais pas, mais je suis capable de comprendre que Portrait of a lady ou Iris Poudre laissent indifférent, mais pas des parfums comme Tubéreuse Criminelle ou même Mitsouko ! Et pourtant... Le parfum, un art trop démocratisé ? C’est peut être ça la vraie question ?

Je sais pas, mais je trouve ça passionnant. Je pense je vais faire un article là dessus pour mon lycée...