Balades parfumées à Paris (2) - Du Palais Royal à la Concorde

par Maxxxx, le 17 novembre 2010
Haaaaaaaaaaaaa !! Je viens de perdre plus d’une demie heure d’écriture en appuyant sur "Voir ce message avant de poster" alors que mon pc était déconnecté d’internet. Je n’ai pas le courage de tout réécrire, donc voici quelques commentaires en version très tronquée (c’est la partie que j’ai écrite les jours précédents et que j’avais sauvegardée en fichier texte) :
Bon, Nez-lik a en effet déjà bien détaillé la visite... J’essayerai donc de ne pas trop m’étendre et je n’évoquerais que ceux qui ont marqué ma journée :
CDG / Harissa
J’en avais entendu parler et je voulais le sentir pour l’expérience... le piment n’étant pas dans les matières plus classiques en parfumerie, ça promettait au moins un peu d’originalité. Harissa est en fait un piment... un vrai piment comme celui de l’AP, mais en moins sec et un peu plus sucré, juteux. Après un passage légume/poivron (ça n’est absolument pas péjoratif, au contraire !) quelques notes fruitées viennent adoucir la composition qui finit très chaude et presque comestible (là où le piment de l’AP, doux et chaud également, ne m’évoque, lui, aucune gourmandise).
Coup de cœur pour celui-ci !
Rosine / Rosissimo
Annoncée comme une rose au citron pour homme... c’est bien cela, mais, sur ma peau en tout cas, la rose se fait écraser par le citron, le tout finit acide et assez désagréable à mon nez, proche de ce que donne Déclaration de Cartier sur ma peau. (beuurk !)
Lutens / L’eau
Ça n’est clairement pas dans l’esprit du reste de la marque, c’est d’ailleurs annoncé ainsi, mais là où certains voient des errements malencontreux de Lutens, je vois simplement une modeste mais belle composition, claire propre et transparente, avec une certaine douceur, somme toute assez bien équilibrée... Ça n’est pas un coup de cœur pour autant. Mais ça mérite peut-être d’être re-senti.
Lutens / Cuir mauresque
Une belle composition, très chaude, un peu sucrée, mais sans tomber dans le gourmand du tout avec le fond cuir un peu crade J’ai du mal à savoir ce qu’il y a dedans... mais ça n’est pas plus mal, ça veut dire que ça s’écarte des éternels classiques que l’on décompose au premier coup de nez. Il semble par contre passer assez vite sur ma peau... je ne sais plus trop quand nous sommes passé chez Lutens dans l’après-midi, mais vers 19h il n’y avait plus trace de ce parfum sur le dessus de ma main gauche (alors qu’Harissa se faisait toujours assez présent sur la droite).
Coup de cœur quand même... expérience à renouveler !
Jar / Jarling
De l’amande... beaucoup d’amande même finalement. je l’ai retrouvée parce que ce parfum m’a fait penser à l’odeur de la colle que nous avions en maternelle et primaire... donc de l’amande. (Mais qui voudrait sentir la colle et évoquer l’école !?) Dans son évolution, il y a un petit passage praline, très gourmand, que j’aime beaucoup mais qui est vraiment très fugace (peut-être moins que le jambon de Brin de réglisse quand même ;-) ). La fin est très très douce mais sans être trop écœurante. La tenue est bonne, voire très bonne, mais à ce prix là, j’ai envie de dire : heureusement !
Pas coup de cœur... et heureusement pour le compte en banque !
Comme je vous l’ai dit, c’est tronqué... ça sera complété si j’ai le courage un jour prochain.
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