Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 2/4
par Amelys, le 19 janvier 2010
Je rejoins Clochette dans son argument. 150 euros c’est vraiment onereux il faut bien le dire de nos jours on peut remplir son frigo et ses placards pour pas mal de temps avec cette somme c’est une chose qu’on ne doit pas perdre de vue. En ce qui me concerne je vis dans une ville de Province ou nous n’avons pas accés aux parfums de niche ou aux lignes exclusives vendues uniquement dans les boutiques de la marque. Je ne peux sentir les parfums que de nombreuses personnes évoquent sur le site que lors de mes rares excursion a Paris. Mais même lorsque j’ai accés a ces créations je me retrouve souvent dans l’impossibilité de les acheter pour des raisons budgetaire. C’est regrettable pour les gens comme moi qui nourissent une vrai passion pour les parfums de se retrouver dans l’incapacité d’acheter un parfum de qualité sauf exception ou on déide de se faire plaisir et de jeter la conséquence au vent.
La plupart du temps je cherche dans les marques dites mainstream mais dans les anciens parfums comme Chamade, Coco ou encore Tocade et de temps en temps je tombe sur de petites pepites comme Amour de Kenzo pour lequel j’ai eu un vrai coup de foudre et qui reste dans des prix relativement abordable puisque disponible en différente contenance. Pour exemple il y a peu de temps j’ai eu l’occasion de découvrir les parfums de Annick Goutal et il y en a une que j’ai vraiment aime mais une detail m’a dissuadé de l’acheter. Je ne pouvais le prendre qu’en format 100ml pas d’autres disponible dans la parfumerie. le prix bien sur plus de 100 euros mais ce n’est pas la seule marque a exédé cette somme pour cette contenance. Ce qui m’a dérangé c’est qu’en principe j’achéte un parfum pour la premiere fois dans le plus petit format parce souvent on peut se lasser d’un parfum malgré le coup de coeur qu’on a pu avoir pour lui. Sur ce coup je l’avoue j’ai été frileuse et je ne l’ai pas acheté craignant de m’en lasser rapidement et de garder le flacon sur les bras.
Bref tout celà pour dire que certes on en a marre de sentir la même odeur de tarte au fruit ou de gateaux surdosés en vanille mais que si une certaine sphére de la parfumerie se rendait un tantinet plus accessible alors celà permettrait aux néophytes de mieux la connaitre et on ne sentirais plus les mêmes senteurs a chaque coin de rue.
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