La tubéreuse : pécheresse en blanc

par Farnesiano, le 15 septembre 2015
Apparemment, à l’image de Poison et sans doute plus encore, Giorgio déchaine les passions : on aime ou on déteste, on adore ou on abomine. Je suis dans le premier clan. Si riche, si diversifié, si intense et tellement cohérent. Un chef-d’oeuvre absolu. Comment un tel parfum a-t-il pu devenir un classique ? On peut se le demander. Sa puissance, son audace, sa singularité et sa complexité nous sautent au visage : tout d’un grand et fort parfum. Ce Giorgio, il m’envoûte, je l’étreins...
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