Ô

par zab63, le 29 mars 2015
Je n’ai jamais oublié Ô. Dans les seventies, il me paraissait plus anisé,et le fond devait certainement être plus "typé" grace à la ("vraie") mousse de chêne, mais je le reconnais bien : j’ai sept ans, c’est le printemps, j’ai couru dans l’herbe et j’ai soif, alors je bois une citronnade, en ignorant les discussions des adultes, auquelles je ne comprends rien, de toute façon.
Aujourd’hui,mon père, qui n’aime pas le parfum, me l’offre de temps en temps.
C’est le seul qu’il arrive à supporter, me dit-il.
Je dois dire que les flankers de Ô font pâle figure à côté de l’original, si tonique. Il me stimule quand je suis fatiguée.J’adore le respirer pour éviter une crise de claustrophobie dans le métro bondé (grâce un petit vapo de sac), et j’adore le porter en été, mais aussi pour ensoleiller l’hiver. Même reformulé, il reste top.
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