Misia

par Yohan Cervi (Newyorker), le 26 février 2015
Bonsoir Erzsébet,
Content que Misia vous plaise. Je rebondis ici sur votre remarque concernant son évolution, que je trouve pour ma part assez remarquable. Il joue sur différentes facettes, et se fait tour à tour aldéhydé, floral, fruité, poudré, oriental, au fil des heures, en fonction de la manière dont on le respire, sur peau, sur touche ou dans le sillage. Je le redécouvre à chaque fois que je le porte, ce qui est propre selon moi aux grands parfums, il n’est en rien monolithique.
Je vous rejoins en revanche sur un point : il est facile à aimer. Toutes les personnes à qui je l’ai fait découvrir sont tombées sous son charme, toutes, mais à chaque fois pour des raisons différentes. Certains ont apprécié son côté retro, d’autres ont été charmés en tant qu’inconditionnels de violette, de rose ou d’iris. On l’a aussi trouvé gourmand, parfois austère, mais toujours fin et élégant, ce sont les adjectifs qui sont systématiquement revenus, à raison.
Bonne soirée,
Yohan
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