Sancti, l’Eau Bénite

par Ankalogon, le 13 mars 2014
Les découvrir, en parler, etc, c’est épatant. Les comparer à des œuvres d’art je me demande dans quelle mesures c’est pertinent. Quoique pourquoi pas une nouvelle classification : Le parfum 8e ou 10e art ?
Malheureusement nous somme dans un monde consommatique, même les Hommes sont étiquetés comparés, mesurés et l’œuvre d’art n’échappe pas à ce principe. Du coup un Picasso est préférable à un Koons.
Finalement ces dernières années, un foisonnement parfumé se confond avec l’image du resto branchouille.
Votre réponse
à la une
Smell Talks : Créer, innover, durer... Réussir dans la parfumerie de niche
La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
en ce moment
il y a 3 jours
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
Dernières critiques
Mandi Rhubi - Isabelle Larignon
Eau écarlate
Sonic Flower - Room 1015
Nuit blanche
Après l’amour - Infiniment Coty Paris
Volutes et voluptés
hier
Oui, le site Guerlain m’a répondu la même chose. Vol de nuit n’y est plus vendu mais on peut(…)