Sancti, l’Eau Bénite
par Ankalogon, le 13 mars 2014
Les découvrir, en parler, etc, c’est épatant. Les comparer à des œuvres d’art je me demande dans quelle mesures c’est pertinent. Quoique pourquoi pas une nouvelle classification : Le parfum 8e ou 10e art ?
Malheureusement nous somme dans un monde consommatique, même les Hommes sont étiquetés comparés, mesurés et l’œuvre d’art n’échappe pas à ce principe. Du coup un Picasso est préférable à un Koons.
Finalement ces dernières années, un foisonnement parfumé se confond avec l’image du resto branchouille.
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