Diptyque capte son essence

par Tim Buktu, le 15 mai 2011
C’est hélas aussi un peu mon avis. Le concept de 34 est incompréhensible pour les fidèles de la marque et de ses premières créations qui n’ont pas d’équivalent sur le marché. Les grands classiques de Dyptique sont déjà tous des atmosphères d’herboristerie ou d’apothicaire. Alors qu’avons nous besoin d’un pot pourri de pots pourris, ci ce n’est un affadissement par mélange des chefs d’oeuvre que sont L’Eau, l’Autre, l’Eau Lente ? Que diriez-vous si Guerlain sortait un Jitsoumar ou un Shalitsoucky (quoique, avec Cologne du 68...) ?
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