Coco
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Pour moi Coco, c’est une femme, très belle, qui serait allé au fumoir avec les hommes pour boire un coup, parce que les bobonnes l’ennuie. Affirmé, c’est le moins qu’on puisse dire, mais avec un tel charme que tout passe. (Je suis peut-être influencé par Gabrielle Chanel qui n’était guère tendre avec les femmes.) Effectivement, je le trouve noir et or, baroque, mais il réussi à être assez léger dans son genre : il caresse dans le sens du poil, il ne prend pas à la gorge pour terrasser quand même. C’est un félin très civilisé ! Son coté extrêmement flatteur me fait dire qu’il est un peu moins Chanel qu’un 5 ou un 19 plus secs et autoritaires, lui, il prend le temps de charmer et ça lui va bien !
L’eau de toilette est plus transparente que l’eau de parfum originale. J’aime moins, mais pourquoi pas ? En tout cas, un quart de siècle après sa sortie, il a très bien vieilli et ses fidèles ne sont pas lassées.
Pas grand-chose à dire de la pub avec Paradis, c’est gentillet. Mais ce que je reproche à Vanessa, c’est moins sa jeunesse et sa blondeur qu’une certaine candeur naïve et un peu bête. Charmante, certes, mais pas très Coco.