Azzaro pour homme
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
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Petitgrain devient grand
Azzaro pour homme, je l’ai méprisé pendant des années.
Puis, finalement… C’est plus une odeur qu’un vrai parfum abouti. Quelque chose de non-fini, une ambiance ébauchée mais pas terminée. Et quelle odeur ! Celle de la virilité, effectivement. Ça sent l’homme, le vrai, le macho. Il y a les poils, les muscles, la sueur, les mains calleuses… Très Village People à la gay pride en fait. Et vu comme ça, c’est assez drôle et sympathique. Un parfum cliché à prendre au second degrés pour les jours ou on a envie de se looker décalé. (et un peu plouc) Parce que c’est amusant et qu’on n’est pas dupe.
Par contre, quand ça fait partie d’un style de vie, que c’est le parfum unique, je trouve que ça devient un peu triste.