Campagne d’Anthology pour D&G
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 21 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Je suis content que tu défendes ces parfums ! Car sincérement, moi c’est pas mon truc. J’aime bien le concept. Je suis d’accord pour le bateleur que je trouve bof bof du genre Lacoste. L’impératrice est bien. Point. La roue de la fortune, sincérement j’ai du mal. Je trouve ça sent le produit pour laver les cuisinières à induction ^^. L’amoureux : celui là je le supporte pas ! Je l’aime bien mais mon nez ne peut pas le sentir. Dans le train j’étais à côté d’une sorte de latin-lover qui s’en ai aspergé ! OMG ! Ca sentait bon mais c’était quand même horrible !
Et puis La Lune ! Bizarrement il a fallu que je le découvre sur la peau (de ma prof de latin, toujours elle !!!^^). Eh oui, La Lune est alors un accord très agréable, entre fraicheur floral (en effet, le côté muguet très sympa, bon un peu synthétique mais sympa) qui s’allie à la lumière d’un coté fruité très poire, s’opposant dès lors au fond plus boisé (je sens personnellement un aspect cèdre et santal doux). Il y a donc un petit effet de contraste différent du chaud/froid qui fait plus lumière/ombre très sympathique. Mais un parfum à sentir pas sur papier mais sur peau (sur papier ça fait produit ménager encore).
Donc à par La Lune qui est vraiment sympa, je trouve que D&G s’est pas trop foulé quand même !