Do Son
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Do son est vite devenu pour moi un grand classique, à tel point que je l’imaginais provenir des années 80 alors qu’il n’a que 18 ans. Malgré Fracas et Poison c’est mon tubéreuse de référence. Toutefois je n’ai jamais humé la fleur même.
Il est endurant mais pas envahissant. Bien qu’extrêmement fleurs blanches, il n’en a pas cette facette capiteuse lourdingue de l’indole. La fleur d’oranger n’y est pas gourmande. C’est un lourd léger : en boxe ce serait le sautillant mais percutant Cassius Clay.
Que des qualités ! Un parfum à mon image.