Les parfums de la honte
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
« Bonjour neovand, oui, cest une très très bonne question que vous posez là, et qui m’a fait réfléchir ... Si je les aime, pourquoi hésiter ? Suite à votre question, je pense moins hésiter, car c’est dommage d’hésiter, et je pense m’offrir un flacon tout d’abord de Tocade, puis en deuxième temps de Loulou. Merci à vous pour votre réponse à mon commentaire, qui m’a fait réaliser à quel point il est dommage de se priver ! Si du moins on peut se l’offrir ... Quant à la difficulté à " assumer " : peut-être car ce sont des parfums assez " marqués " ? Dans le cas de Tocade, c’est moins difficile pour moi à assumer, car je le trouve plus " léger " ; pour ce qui est de Loulou, que, pourtant, je le répète, j’adore, c’est un parfum qui me fait l’effet d’être direct et entier, sans compromis, alors mon hésitation vient du fait qu’il soit peut-être moins " compris ". Mais pour ma part, je vous rassure, je le comprends et surtout je l’aime, ce qui ne s’explique pas - à ceux qui ne le comprendraient éventuellement pas - et ne se justifie pas. Assumons, assumons ! Aimons, aimons ! Parfumons-nous. Peu importe le flacon, pourvu qu’il y ait l’ivresse ! Ennivrons-nous - cf Baudelaire par Reggiani, sur le site de l’INA.
Amitiés à tous les amoureux et à toutes les amoureuses du parfum »