Quel parfum portez-vous ?
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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c’est un joli parfum frais et doux. Je trouve qu’une femme de 50 ans et plus peut tout à fait le(…)
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Feuilles de tomate, cassissier et rhubarbe... J’imagine le parfum un peu âpre ? Ça doit être très(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
"Poison" vintage. Une EDT de 2002 .
Les dieux de la parfumerie me sourient aujourd’hui. Sans le savoir, j’ai enfin acheté un flacon bien conservé. Je n’en était pas à mon premier saut de la foi.
Je suis tour à tour :
Télescopé par une rose rouge qui passe vite.
Questionné par une cardamone qui le goût aigre-doux d’un sirop de sureau, et la chaleur d’une confiture de fraise.
Remis sur les rail par un aldéhyde à facette de noix de coco, tout poudré et narcotique.
Je trouve un repère avec la cannelle à facette de beurre de cacahuète.
Il y a, comme en diagonale, une fantomatique tubéreuse synthétique, jaune fluo, qui vous bondit dessus en rugissant, toutes griffes dehors. A un pschitt près, j’aurais risqué la migraine.
Il y a un santal en transparence, une tonalité carvi, et un léger truc animal qui rebique, probablement du costus.
Poison, c’est un road movie, bariolé et sombre. Il est structuré comme une suite de rencontres insolites.