Parfums réédités : les retrouvailles olfactives
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
hier
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonjour, je suis encore plus dure que vous pour Habit Rouge : la version affligée du sous-titre « l’instinct » est abominable et semble supplanter l’EDT traditionnelle, très affadie, dans les stocks des parfumeries, je crains le pire. Pour le 5, je n’en ai plus acheté depuis des années, j’ai essayé de me tourner vers le 22 mais lui aussi agonise dans le placard des regrets. Le 19 n’est pour moi plus ce qu’il était : il faut en effet aller aux fortes concentrations pour le retrouver alors que l’eau déodorante d’il y a des lustres suffisait. J’ai l’impression qu’il faut aller chez Estée Lauder pour trouver les formules inchangées…
Ou chez Dyptique ou à la Parfumerie Générale de Pierre Guillaume. Je me pose des questions sur l’impression de dilution que me donnent certaines EDT : il y a des normes strictes qui devraient prohiber cela. Qu’en penser ?
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