Avec l’Eau de basilic pourpre, Hermès plonge dans l’été
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Après une première édition réunissant près de 3000 passionnés et professionnels du monde entier, la Paris Perfume Week revient du 20 au 23 mars 2025 au Bastille Design Center. Dans son sillage, se dessine une programmation inspirée et foisonnante.
il y a 2 heures
Bonjour Chris68, Ces quelques mots juste pour exprimer le plaisir que j’ai ressenti en voyant(…)
il y a 6 heures
Bonjour cher camarade oui, c’est ma passion ma mère était vendeuse en parfumerie pendant l’âge(…)
il y a 11 heures
Bon, je m’y colle, bien que pas spécialiste du tout. Je dirais que c’est possible, mais il est(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
En voici une qui n’est pas pour moi :-(((
L’ouverture est fort jolie, avec une envolée de notes fraîches, à la fois hespéridées et aromatiques, mais ensuite, j’ai un nuage de muscs blancs qui s’installe et qui me masque tout le reste : je ne perçois pas les notes anisées dont il est question, et je n’arrive malheureusement jamais au fond boisé évoqué dans l’article, avec le patchouli proéminent...
Au début, je me suis dit que j’étais fatigué et que je réessaierais le lendemain, mais cela fait plusieurs jours que je la porte, car j’ai eu un échantillon, et je me retrouve toujours assez rapidement face à ce mur de muscs blancs...
Donc un joli départ, et ensuite, la partie musquée n’est pas mal non plus, c’est doux, rond et cotonneux, c’est confortable et accueillant, disons que je la situe entre la Cologne de Mugler et la Cologne du parfumeur de Guerlain, mais je ne pense pas que je vais ajouter une cologne musquée de plus à ma collection, même si ce basilic pourpre me plaît infiniment plus que les créations précédentes (rhubarbe, néroli, citron...).
Ceci dit, je vais continuer à tester pour voir si ça vient, car pour Cuir d’ange, auquel j’étais totalement anosmique lors de sa sortie, il a fallu près de deux ans et de nombreux essais pour que, peu à peu, je le perçoive !
(et, pour l’anecdote, je suis toujours totalement anosmique au White suede de T Ford et à l’Encens flamboyant de Goutal, que je teste régulièrement, mais sans amélioration)