Le Parfum
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 22 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Bonjour,
Pour les parfums à la fleur d’oranger, le très suave et néanmoins musqué rond en fond Fleur d’oranger de Molinard (collection Eléments) ou la collection des fleurs d’oranger de Sylvaine Delacourte (leurs échantillons vendus par 5 m’avaient servi à offrir un parfum à ma soeur, qui cherchait dans ce registre, ce fut Oscarine, très sucré et discret). Beaucoup plus intense et persistant, George de Jardins d’Ecrivains, dont la fleur de néroli est entêtante et baumée, ou Lutens.
Pour la note miel, je viens d’offrir L’Ame perdue de Le Galion (j’ai oublié d’en remercier Farnesiano !) et les retours sont très positifs. J’ai eu la chance de le sentir et il est très élégant, très mais alors, très nuancé, fleuri chaud (de la fleur d’oranger et d’autres plus solaires) et miellé en fond, avec une longévité certaine mais une projection pas trop entêtante, passées les dix premières minutes. Beaucoup plus femme que cocon, mais la douceur chic, sans aucun doute, et une aura de mystère...
Bon réveillon à tous.