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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 2 jours
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Quatrième essai cet après-midi du dernier masculin de l’excellente et attachante maison Hermès. Je ne sais qu’en penser. Aux notes de tête fusantes, exaltantes, réellement excitantes, succède un cœur élégant, racé, dont j’aime la verdeur humide et rafraîchissante : on s’imagine alors dans un nouveau Jardin d’Hermès qui serait exclusivement réservé à la clientèle masculine, celle des hommes dynamiques, et plutôt jeunes. Le parfum (se) tient sans faiblir durant quelques heures avant d’échouer, hélas, sur des notes nettement moins originales, quoique sans vulgarité, qui me laissent sur ma faim. Problème de peau ? Dommage pour moi.
Voilà donc un bel hommage aux fougères d’antan, celles qui ont accompagné ma jeunesse mais justement, je ne retrouve ni la verve des citronnés YSL Pour Homme et Monsieur Balmain, ni la fraîcheur aérienne de Signoricci 2, ni la splendeur, la complexité, la magie, la profondeur de Boucheron pour Homme (attention, chef-d’œuvre !)
Pour un aromatique moderne et détonnant, pour une réelle découverte, je me tournerai vers Bracken Man d’Amouage (hélas, très cher) ou Copper de Comme des Garçons, étonnant parfum vert et métallique plongeant progressivement vers un ambre cuivré bien intéressant.