La grande histoire des aldéhydes : du N°5 de Chanel à la parfumerie contemporaine
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Merci pour cet éclairage, Petrichor, et pour le rappel de Dove - que je n’ai plus acheté depuis des lustres mais dont le côté aldéhydé ressortait pour moi dans la lumière, un peu acide, et la texture de sa "projection".