Le Parfum de Thérèse
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
J’avais lu toutes les éloges des internautes face à ce parfum, et j’avais peur mais aussi envie de le tester : en fait toutes ces évocations de Femme de Rochas m’effrayaient.
Or, là où Femme joue la carte du classique banal, Le parfum de Thérèse évoque l’odeur de la femme. Celle qui est libre, indépendante. J’aime la note fruitée, qui confère au parfum une sorte de sagesse et ainsi font de cette création un tout très doucereux, charnel pas accessible à tous.
C’est ça que j’aime : l’aspect précieux de cette oeuvre, qui évolue avec sa porteuse. Puis l’effet contraste avec les notes florales au jasmin (qui me rappelle un peu Diorissimo plus que Diorella) et le fond chypré jouant la carte du féminin séducteur, et bien ça fonctionne à fond.
Vive l’odorat