Iris torréfié, le café parisien revisité par Guerlain
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 15 heures
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Je vaporise depuis deux jours l’un de mes poignets avec ce dernier opus de la ligne L’Art et la matière (Ce fut toute une affaire pour obtenir un échantillon...)
Voici un bien beau Guerlain, délicat, subtil mais pas foncièrement original. Les notes de café grillé, rehaussées de bergamote et de cardamome, s’évanouissent assez vite pour laisser place à un iris élégant et confortable. D’heure en heure, ce parfum que j’étais presque prêt à m’offrir pour les fêtes, m’en rappelait d’autres dans la même veine : Iris de Syracuse, Infusion d’iris et même par moments, Bruma dans ses notes de fond. Et puis, dans un dernier déclic, la réminiscence de Dior Homme EdP avec sa délicieuse note de cacao, à laquelle s’unit l’odeur d’un café récemment torréfié. Comme souvent chez Guerlain, une magnifique vanille enveloppe, souligne la création. Bon, je n’ai pas senti l’actuelle " mouture " de Dior Homme, me contentant de mon vieux flacon que j’économise religieusement. Mais quand le Dior créé il y a presque 10 ans, éclate encore aujourd’hui d’originalité, de lumière et de pouvoir séducteur, notre Guerlain se fait uniquement charmant. Un bien beau charmeur, cependant, qui ne manque pas d’expérience... A sentir de toute façon !