Gabrielle, le Chanel universel
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 2 minutes
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
il y a 15 heures
On se sent un peu seule ce 14 février ?
hier
Bonjour, Pas évident de trouver un équivalent. Personnellement, je tenterais le layering et je(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Sur touche, je l’avais trouvé dépourvu d’intérêt, assez convenu et générique : une envolée hespéridée suivie de fleurs vagues et de muscs, oui, bon, un parfum délicat mais un peu dénué d’âme. Qu’importe, je me suis obstinée (comme souvent lorsqu’un parfum me laisse indifférente voire me rebute au premier essai). Finalement, son développement sur la peau me semble charmant, les fleurs blanches sont plus présentes que je ne l’aurais cru. Sa tenue est trompeuse, on pense qu’il a disparu et il revient au moindre mouvement. Il ne m’évoque toujours rien de très précis, ce n’est pas un parfum "tableau" à mon sens, cependant j’y reviens et à voir la vitesse à laquelle se vide le flacon il va falloir admettre que je l’aime bien, un peu malgré moi.