La Couche du diable, les braises de l’enfer par Serge Lutens
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je ne fais absolument rien payer à Lutens dont j’aime nombre de jus, essentiellement les anciens à prix encore acceptables.
Je refuse tout autant de considérer the Night ou autre parfum ou extrait à prix délirant.
Je sais que tous les perfumistas ne sont pas d’accord sur ce sujet, moi je refuse d’aller au delà d’un certain prix payé et d’engraisser les maisons qui produisent ces jus à prix d’or. J’ai vécu dans l’un des pays les plus pauvres de la planète et pour moi, rien ne justifie de ne pas garder les pieds sur terre et la valeur des choses.
Encore plus en ce moment où la seule chose essentielle me paraît être la santé, la solidarité et la vie...