Sécrétions Magnifiques
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Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Je sors de la boutique des Etats Libres d’Orange (au pluriel, ça a plus de charme) dans le Marais, découvert notamment grâce à vous. Lancée, damoiselle Justine a bien voulu me faire essayer toute la gamme, dont le fameux Sécrétions, que je me devais d’essayer. Pour tout vous dire, s’il y a une odeur que j’aime sur cette terre, c’est la mienne : MES Sécrétions Intimes sont un nectar magnifique, alors ELO pouvait bien s’accrocher avec sa composition, rien à voir, car sans joie... Mais oui, il y a moyen de râler sur ce détail : la peau qui s’exprime en secrétant des signaux olfactifs, elle est joyeuse, tandis que la composition audacieuse de ELO ne l’est pas. Néanmoins je rejoins Jeanne, en applaudissant l’audace et la créativité de cette odeur. Rentrée à la maison, j’ai reniflé tous mes cartons, et à chaque fois que je tombais sur Sécrétions, le "pouah" venait immédiatement. Sans rancune ! Intéressant car trop animal mais j’aime son cuir (le cuir du taureau transpirant dans l’arène), le "Vierge et torero" a la rudesse du bestiau, importable, mais fameux. Et mon coeur chavire pour "Charogne", mot insensé pour ce vanillé camarade. Et pour Divin’Enfant, même si je me méfie de la fleur d’oranger, qui parfois peut virer écoeurante. Quoi d’autre... La recherche sur la roussitude de Tilda est une belle réussite, très rousse (trop ?) d’abord, puis s’arrondissant ensuite. Et la recherche sur la blondeur champagne de Marilyn, allez j’ose, c’est peut-être là leur réussite ! J’ai réellement retrouvé le champagne, version parfum. Une pétillance en parfum, il fallait le faire non ? Le Rossy de Palma, encore une fois presque écoeurant comme une grosse fleur rose pourpre, grasse, opulente, me plait assez, comme la générosité de l’actrice, de l’Espagne, des almodovaritudes.
A propos de "vraie Blonde", j’ai une question, je SAIS que vous pourrez m’aider : les aldéhydes, mais qu’est-ce mais qu’est-ce mais qu’est-ce que c’est ???
L’hôtesse récitait son "la note d’aldéhyde contenue dans le N°5" et le livret de chez ELO en reparle, mais pour moi, le charme du N°5 est dans sa douceur poudrée. Maintenant j’arrive à situer l’Ylang-ylang (que je qualifie de "cocotte" mais non, ce n’est pas péjoratif), ou le tonka ("gourmand abrupt" dans mon dico perso), mais les aldéhydes... Qui saura, avec seulement des mots, sur un écran froid et rectangulaire, me faire passer le message de l’aldéhyde ?
Je n’ose ajouter ce terme que je découvre dans ce forum : l’indole. Même question, même punition... M’a l’air bien intéressant, cet indole.
En vous remerciant par avance.