Opium
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Guillaume Frémondière, ingénieur agronome et Juliette Karagueuzoglou, parfumeuse chez IFF, lèvent le voile sur cette fleur emblématique.
il y a 2 jours
Bien incapable d’en donner une description détaillée, je trouve simplement que c’est un bel(…)
il y a 3 jours
Bonjour, Apparition sur le site Caron des extraits de Bellodgia, Farnesiana , Or Et Noir et(…)
il y a 6 jours
Chère Adina, en même temps ne vous faîtes pas d’illusions, la note noisette de Vetiver Santal est(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Après avoir lu tous les commentaires, j’ai pu constaté une certaine frustration au sujet des nombreuses reformulations dont Opium a été victime. Et je comprends parfaitement, même si je ne fais pas parti de la génération qui à pu profiter de ce chef d’oeuvre avant l’an 2000. Je suis né en 95, et j’ai n’ai été bercé par autre chose que le Vétiver et Shalimar. Opium, j’ai eu l’occasion de le sentir par ci par là mais que sur les hommes, et j’en ai gardé qu’une impression de ce parfum, une certaine émotion et une chaleur. En revanche, aujourd’hui j’arrive à retrouver ce souvenir en m’hydratant luxueusement la peau avec le voile hydratant (qui d’ailleurs est délicieusement parfumé) associé à l’extrait sur les points chauds et deux pshits de l’eau de parfum. Je suis un amoureux et collectionneur de la parfumerie fine, et je peux vous dire que je considère cette fragrance comme une de mes drogues préférées de tous les temps.