La Couche du diable, les braises de l’enfer par Serge Lutens
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 9 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Cela fait 3 jours que je passe volontairement au sepho du coin pour me pschitter le poignet copieusement de ce nouveau jus et a chaque fois la même impression : j’aime et j’aime pas. La première image qui me vient à l’esprit bizarrement c’est je pourrai mettre ce parfum le jour où je vais voir un ennemi, or je n’en ai pas peut être une ex que je voudrai incommoder ?!? Le départ est clivant un feu de je ne sais quoi de dérangeant, intrigant avec un côté répulsif, fort a la pulvérisation puis le tout se calme pour finir de façon presque crémeuse et arrondie et cela devient beau et presque addictif. Un parfum pour les jours où l’on a envie d’être fort, malheureusement la tenue n’est pas au rdv 5 h plus tard il n’y a plus rien après 3 pschitts, c’est dommage je pense qu’il méritait sa chance car je le trouve très singulier et plus facile a porter que le participe passé que j’aime beaucoup et qui lui est indélébile mais que personne n’apprécie (du moins dans mon entourage), je vais continuer de le tester je le verrai tellement bien cet hiver devant un bon feu de cheminée en dégustant un bon verre de vin rouge bien tanique