Belles rives
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 5 heures
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
il y a 20 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Je sens dans Belles Rives quelque chose qui m’évoque le cumin. Je voudrais l’aimer, mais il n’y a rien à faire, cette note prend le dessus presqu’au point de m’insupporter. Je sens aussi une note cumin dans Seine Amoureuse, un autre iris qui m’avait charmée au premier abord lorsque j’ai découvert les parfums de Jean-Michel Duriez. Le charme s’en était allé ensuite, quand je suis retournée le tester plus longuement, à cause de cette fameuse note de cumin un peu ’sale’, qui peut être intéressante mais qui est là vraiment beaucoup trop dosée à mon goût et prend le dessus sur le reste. Cependant, grâce à la box auparfum, j’ai pu prendre le temps de mieux le découvrir, et finalement la note de cumin s’estompe au bout d’un moment et le parfum se révèle alors tout à fait, majestueux. En revanche, dans Belles Rives, il me semble qu’elle va en s’accroissant et je finis chaque fois par aller me laver le poignet. Pourtant je pensais craquer complètement sur ce parfum en lisant sa description. Sur le papier, il est tout ce que j’aime..